LES FILMS D’ANIMATION
LÉA HARVEY
La princesse Mononoké, Mon voisin Totoro, Le voyage de Chichiro, Le tombeau des lucioles, Le conte de la princesse Kaguya, Ponyo sur
la falaise… On pourrait continuer ainsi longtemps. Les classiques du cinéma d’animation japonais sont nombreux et omniprésents dans la culture populaire — on retrouvera rapidement Totoro sur un étui à crayons, un sac, un coussin ou encore une coque de téléphone par exemple.
Loin d’être cliché, souligner ce type de films est d’ailleurs «primordial» lorsqu’on parle de l’histoire du septième art nippon, affirme André Caron, qui insiste sur l’unicité de l’imagination et de la poésie liées à ce genre.
«Pendant que, dans les autres pays, on attribuait ces films à des spectateurs enfants ou adolescents, au Japon, ils étaient destinés aussi à des adultes», souligne de son côté M. Blouin.
Populaires dès les années 60, ces longs métrages d’animation connaissent surtout leur plein essor dans les années 80, à la même époque où les cinéastes Hayao Miyazaki et Isao Takahata fondent notamment le studio Ghibli, producteur de nombreuses oeuvres emblématiques.
ARTS
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2021-07-31T07:00:00.0000000Z
2021-07-31T07:00:00.0000000Z
https://lesoleil.pressreader.com/article/282750589775333
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