CINQ QUESTIONS POUR TESTER VOS CONNAISSANCES

Les plus vieux la nomment encore l’Anglo. Pour d’autres, c’est la Reed ou la Daishowa. Aujourd’hui, la papetière appartient à Papiers White Birch, qui la désigne comme l’usine Stadacona. Son histoire n’a rien d’un long fleuve tranquille. Pensons à ses difficultés financières qui, à la suite de l’arrivée du nouveau propriétaire en 2004, ont provoqué des pertes d’emplois et la terminaison des régimes de retraite. Il n’en reste pas moins que l’usine de pâte et papier du boulevard des Capucins a façonné la vie économique de Québec, et plus particulièrement celle de Limoilou.

1 Quel est le nom du maire de Québec qui s’était engagé à attirer une papetière dans Limoilou alors que le chômage était endémique à cette époque?

A) Olivier-Napoléon Drouin

(110-116)

B) Henri-Edgar Lavigueur (116-120)

C) Joseph-Octave Samson

(120-126)

2 Quel journal faisait partie du consortium anglo-canadien à l’origine de la construction de la papetière?

A) The Daily Mirror B) Le Soleil

C) The Toronto Star D) L’Action catholique E) The Times

3 Quel a été le coût de construction de la papetière?

A)  millions $ B) , millions $ C)  millions $ D)  millions $ E)  millions $

4 En , quel était le nombre d’employés de l’Anglo-Canadian Pulp & Paper Mills?

A) 300 B) 500 C) 700 D) 00 E) 1100

5 La papetière a fondé une équipe de hockey et a été copropriétaire d’une autre. Lesquelles?

A) Citadelles et As B) Bulldogs et Remparts C) As et Remparts

D) As et Nordiques

E) Citadelles et Remparts